Fienvillers

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Fienvillers
Fienvillers
Notre-Dame-de-l'Assomption.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité Communauté de communes du Territoire Nord Picardie
Maire
Mandat
Alain Roussel
2020-2026
Code postal 80750
Code commune 80310
Démographie
Gentilé Fienvillois
Population
municipale
673 hab. (2021 en diminution de 0,3 % par rapport à 2015)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 07′ 09″ nord, 2° 13′ 45″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 167 m
Superficie 11,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Doullens
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
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Liens
Site web http://www.fienvillers.fr/

Fienvillers est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Autheux Longuevillette Rose des vents
Gorges N Candas
O    Fienvillers    E
S
Fieffes-Montrelet

Description[modifier | modifier le code]

Fienvillers est un village picard de l'Amiénois situé à une dizaine de kilomètres au sud-ouest de Doullens, une trentaine à l'est d'Abbeville, à 26 km au nord d'Amiens et à 43 km au sud-ouest d'Arras, desservi par le tracé initial de l'ex-RN 25 (actuelle RD 925) qui reliait Le Havre, Dieppe, Abbeville à Doullens et Arras.

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 24 (Doullens - Domart-en-Ponthieu) du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés. La ligne no 26 (Doullens - Bernaville - Abbeville) permet les déplacements vers Abbeville et la ligne no 57 mène à Amiens[1].

La commune est située sur un plateau calcaire légèrement raviné, dont la mince couche végétale surplombe une argile qui laisse difficilement passer l'eau.

Aucun cours d'eau ne parcourt la commune et des puits fournissaient les besoins en eau de la population en 1899[2],[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 5 km à vol d'oiseau[6], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records BERNAVILLE (80) - alt : 146m, lat : 50°08'21"N, lon : 2°10'49"E
Records établis sur la période du 01-03-1988 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,4 3,3 4,9 8,1 10,8 12,7 13 10,6 7,9 4,5 1,9 6,7
Température moyenne (°C) 3,7 4,1 6,8 9,4 12,6 15,4 17,6 17,8 14,9 11,2 7,1 4,2 10,4
Température maximale moyenne (°C) 6 6,9 10,3 13,9 17,1 20 22,4 22,6 19,3 14,6 9,7 6,4 14,1
Record de froid (°C)
date du record
−13,2
16.01.13
−13,5
07.02.1991
−11,3
04.03.05
−4,1
02.04.1996
−0,7
07.05.1997
1,4
05.06.1991
5,2
04.07.1990
5
08.08.1990
2
24.09.03
−4,5
24.10.03
−8
23.11.1998
−13
18.12.10
−13,5
1991
Record de chaleur (°C)
date du record
15
09.01.15
17,6
26.02.19
22,6
31.03.21
24,9
28.04.07
28,7
13.05.1998
33,9
27.06.11
40,8
25.07.19
37,2
10.08.03
32,1
09.09.23
28,9
01.10.11
19,5
07.11.15
15,7
07.12.00
40,8
2019
Précipitations (mm) 72,9 63,6 66,6 53,8 64,5 61,2 72,9 79 66 82,5 91,8 102,5 877,3
Source : « Fiche 80086002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fienvillers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,3 %), zones urbanisées (4,7 %), forêts (3,1 %), prairies (2,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu a été désigné comme Fienviller, Fienvilles, Fiesvillers, feodum villare[16].

Pour certains, Fienvillers viendrait du latin « finis », parfait et de « villare », petite ferme.

Pourtant, on trouve dans les vieux écrits Feodum Villare. Un feodum est un fief ou une terre donnée en récompense à un seigneur ou un soldat.

Histoire[modifier | modifier le code]

Un château lié au fief qui aurait donné le nom primitif de Fiefvillers, selon la tradition, a laissé quelques ruines encore visibles à la fin du XIXe siècle[2].

En 1204, la terre de Fienvillers est donnée aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, installés à Fieffes[17],[16].

En 1636, durant la guerre de Trente Ans, le curé Lefebvre relate que l'armée espagnole a campé pendant neuf jours sur sa paroisse, a brûlé sa maison et détruit les archives de la paroisse[16].

À la fin de l'épopée napoléonienne, les Cosaques traversent le village en 1814-1815[2].

Pendant la guerre franco-allemande de 1870, 58 jeunes gens de la commune combattent l'armée prussienne. Trois sont tués et cinq sont blessés[2].

Le village a été desservi par la gare de Fienvillers - Candas, sur la ligne de Saint-Roch à Frévent, dont le trafic voyageurs a cessé en 1938[18]. Le bâtiment de la gare subsistait en 2008 dans une impasse donnant rue de la Gare.

En 1899, l'activité économique locale se compose de plusieurs ateliers de tisserands, de boutonniers, de teillage de lin. Une paneterie, une briqueterie et un chaufour sont également mentionnés[2].

Première Guerre mondiale
Le roi Nicolas Ier de Monténégro devant un bombardier biplan Martinsyde G.100 Beardmore britannique du No. 27 Squadron RFC.

Lors de la Première Guerre mondiale, le roi Nicolas Ier de Monténégro a inspecté le front de la bataille de la Somme à Fienvillers en novembre 1916.

Un aérodrome a été exploité pendant la première guerre par l'aviation britannique, puis l'aviation française (avec au moins l'escadrille Escadrille SAL 28) et à nouveau l'aviation britannique[19],[20].

La commune, qui se trouvait à l'arrière du front allié, a accueilli de mai à septembre 1918 les hôpitaux de campagne britanniques, casualties 34 et 36, implantés près de la voie ferrée reliant Candas à Conteville. On y soignait les soldats blessés. Ceux qui n'ont pas survécu ont été en partie enterrés au cimetière militaire britannique de Fienvillers[21]. L'acquisition du terrain du cimetière a été déclarée d'utilité publique par arrêté ministériel du [22].

Entre-deux-guerres

De 1936 à 1951, la commune a accueilli l’École d'agriculture de Picardie, établissement confessionnel d'enseignement professionnel pratiquant une pédagogie originale, largement inspirée du scoutisme, tout en s'inscrivant dans une vision chrétienne. L'enseignement se pratiquait dans un imposant bâtiment de trois étages, auquel était accolée une chapelle dont le pignon triangulaire formant façade était décoré d'une haute statue en pierre représentant Jésus au Sacré-Cœur. Après sa fermeture, les locaux ont servi d'internat pour le collège Montalembert de Doullens jusqu'en 2012[23].

Seconde Guerre mondiale

L'aérodrome est utilisé par la Luftwaffe[19].

Fienvillers a été décoré de la croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze le [24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Bernaville [25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Doullens

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription de la Somme.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fienvillers était membre de la petite communauté de communes du Bernavillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fisionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes du Territoire Nord Picardie dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[16],[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
1953 1959 Octave Brasseur    
1959 1977 Charles Costel    
1977 1983 Jacques Becq PS Directeur d'école
Conseiller général de Bernaville (1976 → 1982)
Député de la Somme (4e circ.) (1981 → 1986 et 1988 → 1993)
Maire d'Abbeville (1989 → 1995)
1983 2001 Joël Letocart    
2001 2008 Roger Compère    
2008[26] En cours
(au 8 octobre 2020)
Alain Roussel   Directeur d’école
Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[28]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 673 habitants[Note 3], en diminution de 0,3 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0039051 1441 0621 1931 2561 3101 3731 406
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4011 3641 3701 1841 115996978928906
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
854816739645636617594586589
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
547534553558523548565658679
2021 - - - - - - - -
673--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école primaire Jules Verne, réhabilitée en 2012 par la communauté de communes du Bernavillois accueille 101 élèves à la rentrée 2019-2020. Ils sont alors répartis en 4 classes allant de la petite section de maternelle au CM2 de primaire[32],[33].

Sports[modifier | modifier le code]

Le football peut être pratiqué au sein de l'Association Bonneville - Candas - Fienvillers -Fieffes-Montrelet (ABC2F) qui évolue sur le terrain de football de Candas. Un pôle d'accueil communal est inauguré en 2019.

Une salle permet l'utilisation par les associations locales[34].

Économie[modifier | modifier le code]

Les locaux de l'Ecole d'agriculture de Picardie / Collège Montalembert, longtemps inutilisés, ont été acquis par un investisseur qui y a implanté en 2019 une pépinière d’artisans[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Notre-Dame-de-la-Salette du début du XXe siècle. Reconstruite en 1990 un peu plus loin qu'à l'origine. Sa porte de fer est chargée de symboles[36].
  • La chapelle de l'internat Montalembert, datant des années 1930, désacralisée, pourrait servir de lieu d'exposition[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • En 1175, Gaudefroy, chevalier et noble homme de Doullens, possédait la terre et la seigneurie de Fienvillers[2].
  • L'abbé André Dacheux (Airaines, 10 juillet 1903, Berck-sur-Mer, 13 avril 1971) qui a été de 1932 à 1936, le supérieur du collège Montalembert de Doullens puis de1936 à 1942 le directeur de l’École d'Agriculture de Picardie dont il avait été l'initiateur[23].
  • Hugh Dowding, alors lieutenant-colonel à titre temporaire, est nommé au commandement de la 9e escadre du Royal Flying Corps à Fienvillers en juin 1916. Il est plus connu pour avoir été l'un des défenseurs de la Grande Bretagne pendant la Bataille d'Angleterre de la Seconde Guerre mondiale, au titre duquel il a été nommé maréchal en chef de l'Air et anobli, et portant le titre de baron Dowding de Bentley Priory.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  2. a b c d e et f Notice géographique et historique rédigée par l'instituteur, M. Clément, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
  3. http://archives.somme.fr/ark:/58483/a011261413543FFzgED/1/1
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Fienvillers et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b c et d Abbé Théodose Lefèvre, Notice historique sur le canton de Bernaville (Somme), Amiens, Yvert & Tellier, , 239 p. (lire en ligne), p. 109-118, lire en ligne sur Gallica.
  17. http://www.alainmoules.com/FIENVILLERS/fienvillers.htm
  18. Simonin, phot. à Doullens, « Carte postale ancienne : Fienvillers (Somme) : Gare de Fienvillers-Candas », Archives départementales de la Somme, (consulté le ).
  19. a et b « Fienvillers », Atlas de la Somme, Anciens aérodromes, (consulté le ).
  20. « SAL 28 », Escadrilles de la Grande Guerre, Traditions des escadrilles de l'Armée de l'air (consulté le ).
  21. « Commémoration et exposition à Fienvillers pour le Centenaire : La commune a rendu hommage aux combattants de la Grande Guerre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Ministère de la Guerre - Arrêtés relatifs à la création de cimetières militaires », Bulletin des Régions libérées, no 7,‎ , p. 63 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
  23. a et b Pierre Foucart, « Fienvillers: école d'agriculture : Histoire de l'école d'agriculture », Patrimoine rural, sur richesses-en-somme.com, Le Petit patrimoine en Pays de Somme, (consulté le ).
  24. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marnes - Dormans (51), (consulté le ), p. 45.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  27. Éric Sara, « À Fienvillers, Alain Roussel se lance dans la course aux municipales : Avec sa liste « Fienvillers : Expérience et Avenir », le maire sortant dresse la palette des projets à venir en cas de réélection », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale » (consulté le ).
  33. « École Publique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur fienvillers.fr (consulté le ).
  34. « Une structure pour accueillir au mieux les associations locales : Le pôle d'accueil communal qui servira essentiellement de club-house au club de football sera aussi à la disposition des associations locales », Courrier picard, édition Picardie maritime,‎ , p. 18.
  35. « Une pépinière d’artisans dans l’annexe de Montalembert, à Fienvillers : Les nouveaux propriétaires installent une véritable pépinière d’artisans dans les bâtiments inoccupés depuis des années. Ils proposent également de l’hébergement ainsi qu’une salle de réception. Un modèle de reconversion et de développement local », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 129 (ASIN B000WR15W8).
  37. Olivier Bacquet, « Une troisième vie commence pour la chapelle au cœur de Fienvillers : École d'agriculture inspirée du scoutisme dans les années 1930, annexe du collège Montalembert dans les années 1950… La chapelle de Fienvillers va désormais être un lieu culturel », Le Journal d'Abbeville,‎ (lire en ligne, consulté le ).